[Actualité] Les Bayonnais ne sont pas suffisamment sarkozystes aux yeux de leur maire, Jean Grenet, par ailleurs député radical.
Celui-ci a en effet déclaré : "Je n'aime pas cette campagne violente. Là, c'était physiquement. C'est une ambiance dans ma chère ville de Bayonne qui me déplaît".
"On aime ou on n'aime pas M. Sarkozy. Il est encore président de la République. Et l'accueillir avec des œufs, des bouteilles, des bousculades et des invectives, je trouve cela assez pénible."
De son côté, Marie-Christine Aragon, conseillère générale PS de Bayonne-Est, a réfuté au micro de France Bleu Pays basque que des militants socialistes aient agressé quiconque.
"Nous n'avons en aucun cas été violents. J'étais avec des jeunes du MJS [Mouvement des jeunes socialistes] avec des tracts en mains en campagne pour François Hollande. Sur le pont Marengo, j'ai été interpellée. On m'a même demandé mes papiers d'identité. J'ai été agressée verbalement de façon excessivement violente. Je ne comprends pas en quoi afficher ses opinions a un caractère antidémocratique. L'UMP affichait ses opinions, nous pouvions afficher les nôtres. Nous avons été insultés", regrette-t-elle.
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